X, anciennement Twitter, connaît un “redressement spectaculaire”, constate le Financial Times. Sa valorisation est “remontée à 44 milliards de dollars” au début du mois, la somme qu’avait déboursée Elon Musk pour racheter l’entreprise, en 2022.
Entre-temps, une fois que le patron milliardaire avait dégraissé l’entreprise et fait fuir les annonceurs en “édulcorant les politiques de modération”, la plateforme ne valait plus, en septembre 2024, que 10 milliards de dollars. Entre-temps également, Elon Musk est devenu “l’allié indéfectible du président américain”, rappelle le quotidien économique britannique.
C’est une bonne nouvelle non seulement pour Elon Musk mais aussi pour les investisseurs comme le fonds Andreessen Horowitz, qui devrait les aider à “fixer leur prix pour le prochain tour de table”. Le réseau social envisage de lever 2 milliards de dollars. Et si le chiffre d’affaires de X “a chuté” depuis que le patron de Tesla et de SpaceX en a pris la direction, “l’entreprise a enregistré un bénéfice net d’environ 1,2 milliard de dollars” en 2024.
Les sept banques de Wall Street (dont Morgan Stanley, Bank of America et Barclays) qui avaient aidé Elon Musk à racheter le réseau social ont fini par vendre la totalité des 12,5 mill
